Le mot pirate évoque bien souvent l’image d’aventuriers sillonnant les mers au 17e et 18e siècles, l’âge d’or de la piraterie. Cependant, leur existence est bien antérieure. Elle se confond même avec les origines de la navigation.
Les premiers actes de piraterie datent du 14e siècle avant notre ère et se produisent en mer Méditerranée. Une inscription du pharaon Aménophis III, qui régna sur l’Égypte de 1390 à 1353 avant J.C. l’atteste.
Les pirates nous fascinent. À leur évocation, des images d’hommes cruels à la barbe noire nous viennent à l’esprit. Et pourtant, la piraterie ne fut pas qu’un monde masculin. Les femmes aussi connurent leur lot d’aventures sur les mers. Durant toute l’histoire de la piraterie, les »écumeuses des mers », éprises de liberté, courageuses et aventureuses, furent trembler les flots et surent s’imposer. Pas toujours des modèles certes, mais, somme toute, très en avance sur leur temps !
Le célèbre âge d’or de la piraterie désigne une époque de fortes activités dans l’océan Atlantique. Même s’ils ne sont pas les seuls, la renommée des pirates des Caraïbes prédomine. C’est à cette période, comprise entre 1650 et 1730, que vécurent d’illustres pirates tels que Black Sam Bellamy, Barbe Noire, Stede Bonnet, Anne Bonny ou Mary Read.
Impossible de parler des pirates sans évoquer les tavernes ou les pubs, ces lieux fréquentés avec assiduité par l’ensemble de la communauté. D’ailleurs, le pub tire son nom de »public house » : maison ouverte au public. Les habitants comme les voyageurs de passage s’y retrouvent autour d’un verre. C’est souvent entre ces murs que se diffusent les informations, que se font les négociations et les transactions commerciales. L’effervescence de l’activité économique bourdonne entre les murs des tavernes. Ainsi, on peut dire que les pirates contribuent aux économies locales en fournissant aux habitants des produits qu’ils n’auraient pas pu obtenir autrement. Ils modifient la façon dont le commerce fondait ou renforçait les classes sociales.
Les pirates de l’océan Indien comptent parmi les plus accomplis. Les bateaux transportent de riches pèlerins avec les cales lourdes d’or et d’argent. Aussi, souvent à bord des navires : des diamants, despierres précieuses, des produits rares venus d’Asie, comme des soieries et de la porcelaine. Bien que les pirates raffolent de ces objets précieux, la plupart du temps, ils raflent des marchandises moins inestimables comme du bois, de la fourrure, du coton, des épices, de l’ambre gris, etc.
Malgré les efforts entrepris par l’Espagne pour éradiquer la menace pirate, celle-ci subsistera jusqu’au 20e siècle. Les pirates usent de plusieurs arguments pour insuffler la terreur dans le coeur de leurs victimes, et le plus souvent, avec succès : un drapeau noir signifie qu’un pirate est prêt à se montrer clément tandis qu’un drapeau rouge annonce que l’équipage ne fera pas de quartier.
Les pirates sont aussi mythes et légendes. Un flot clichés entoure ces marins clandestins-pillards : cache-oeil, perroquets, cartes au trésor, etc. Ces aventuriers ont de tous temps captivé l’imagination.
Les Trésors Des Pirates
Le mot pirate évoque bien souvent l’image d’aventuriers sillonnant les mers au 17e et 18e siècles, l’âge d’or de la piraterie. Cependant, leur existence est bien antérieure. Elle se confond même avec les origines de la navigation.
Les premiers actes de piraterie datent du 14e siècle avant notre ère et se produisent en mer Méditerranée. Une inscription du pharaon Aménophis III, qui régna sur l’Égypte de 1390 à 1353 avant J.C. l’atteste.
Les pirates nous fascinent. À leur évocation, des images d’hommes cruels à la barbe noire nous viennent à l’esprit. Et pourtant, la piraterie ne fut pas qu’un monde masculin. Les femmes aussi connurent leur lot d’aventures sur les mers. Durant toute l’histoire de la piraterie, les »écumeuses des mers », éprises de liberté, courageuses et aventureuses, furent trembler les flots et surent s’imposer. Pas toujours des modèles certes, mais, somme toute, très en avance sur leur temps !
Le célèbre âge d’or de la piraterie désigne une époque de fortes activités dans l’océan Atlantique. Même s’ils ne sont pas les seuls, la renommée des pirates des Caraïbes prédomine. C’est à cette période, comprise entre 1650 et 1730, que vécurent d’illustres pirates tels que Black Sam Bellamy, Barbe Noire, Stede Bonnet, Anne Bonny ou Mary Read.
Impossible de parler des pirates sans évoquer les tavernes ou les pubs, ces lieux fréquentés avec assiduité par l’ensemble de la communauté. D’ailleurs, le pub tire son nom de »public house » : maison ouverte au public. Les habitants comme les voyageurs de passage s’y retrouvent autour d’un verre. C’est souvent entre ces murs que se diffusent les informations, que se font les négociations et les transactions commerciales. L’effervescence de l’activité économique bourdonne entre les murs des tavernes. Ainsi, on peut dire que les pirates contribuent aux économies locales en fournissant aux habitants des produits qu’ils n’auraient pas pu obtenir autrement. Ils modifient la façon dont le commerce fondait ou renforçait les classes sociales.
Les pirates de l’océan Indien comptent parmi les plus accomplis. Les bateaux transportent de riches pèlerins avec les cales lourdes d’or et d’argent. Aussi, souvent à bord des navires : des diamants, des pierres précieuses, des produits rares venus d’Asie, comme des soieries et de la porcelaine. Bien que les pirates raffolent de ces objets précieux, la plupart du temps, ils raflent des marchandises moins inestimables comme du bois, de la fourrure, du coton, des épices, de l’ambre gris, etc.
Malgré les efforts entrepris par l’Espagne pour éradiquer la menace pirate, celle-ci subsistera jusqu’au 20e siècle. Les pirates usent de plusieurs arguments pour insuffler la terreur dans le coeur de leurs victimes, et le plus souvent, avec succès : un drapeau noir signifie qu’un pirate est prêt à se montrer clément tandis qu’un drapeau rouge annonce que l’équipage ne fera pas de quartier.
Les pirates sont aussi mythes et légendes. Un flot clichés entoure ces marins clandestins-pillards : cache-oeil, perroquets, cartes au trésor, etc. Ces aventuriers ont de tous temps captivé l’imagination.
*Référence : Le monde international des pirates